Bonjour,
Je me nomme François, fin soixantaine et je suis nouveau sur ce site. J'habite Montréal et je cherche un ou une complice, de préférence de Montréal, avec qui échanger sur le fantasme du viol qui m'a toujours terriblement excité!
Les paranètres des scénarios que j'invente lorsque je me masturbe sont les suivants:
1) une contrainte psychologique, sans violence, où un homme utilise son pouvoir ou son autorité pour obtenir d'une femme cette relation sexuelle qu'elle lui aurait autrement refusée: Proprio/locataire, Prof/étudiante, Fonctionnaire/immigrée, Patron/employée, etc...
2) un plaisir imposé à travers lequel le corps de cette femme la trahit jusqu'à l'orgasme qu'elle ressent honteusement malgré elle.
3) La différence d'âge entre l'abuseur et la victime (qui peut être aussi jeune qu'une ado à peine pubère). Quelques relents d'inceste,sont toujours, à travers mes fantasmes, les bienvenus!
Voici quelques exemples des fantasmes lubriques qui font durcir mon vieux sexe et me font juter... Je vous les livre en vrac en vous rappelant que tout cela n'est que le fruit de mon imaginaire pervers!
Avant sa retraite, ma femme Nicole travaillait alors comme prof de Secondaire Un dans un collège privé. Plutôt bon-chic bon genre, elle était présidente de son syndicat et féministe sur les bords.
Pourtant lorsqu'elle avait bu, ses inhibitions tombaient et elle devenait très salope.
J'en profitais alors pour lui imposer des jeux de rôle. Après lui avoir demandé de se foutre à poil en me faisant un strip tease, je la faisais se coucher sur le dos et je l'attachais par les poignets et les chevilles aux 4 coins du lit avec des foulards de soie.
Étendu à ses côtés, je la doigtais, la léchais et la baisais en lui mentionnant tous ceux à qui j'aimerais l'offrir... comme ses jeunes élèves de 12 ou 13 ans à qui je permettais de violer leur prof à travers moi.
J'aimais aussi surtout lui dire qu'elle se faisait violer par son directeur d'école, M. Simard, un vieux cochon obèse dans la soixantaine qui avait tenté de lui mettre la main aux fesses lors d'une fête de Noël.
À chaque fois où je mentionnais son nom après l'avoir attachée,elle commençait à résister et à se débattre en me disant: "Non, pas lui, il me dégoûte..."
Je m'installais alors entre ses cuisses, un oreiller sous ses fesses et je commençais à lui lécher la chatte en lui disant que c'était Simard qui la violait avec sa langue.
Il ne lui fallait pas plus de 10 minutes pour qu'elle se mette à jouir sur mon (son) visage.
Je m'étendais ensuite sur elle pour la pénétrer tout en personnifiant toujours Simard jusqu'à ce qu'elle jouisse à nouveau sur sa vieille bite.
Souvent, aussi, je m'étendais près de son visage et je la forçais à sucer la vieille bite de Simard en la retenant par les cheveux pendant qu'elle essayait de détourner la tête.
Ouffffff... si Simard avait su le nombre de fois où, à travers moi, il a violé ma femme, déchargeant dans sa chatte, dans sa bouche ou au fonds de son anus!!!!!!...... hummmmmmm...
J'aime aussi caresser ma vieille bite en imaginant des scénarios encore plus pervers et tabous comme ce vieux cochon de près de 70 ans qui abuse d'une fillette à peine pubère qui lui a été confiée en famille d'accueil.
Après avoir doublé la dose de somnifère de sa femme,il va rejoindre, la nuit venue, la jeune ado dans sa chambre. Cette jeune fillette qui a le même âge de sa propre petite-fille.
Je vous laisse imaginer la suite alors que ses vieilles mains calleuses caressent le corps nu de la fillette palpant ses jeunes seins naissants avant de commencer à doigter sa petite fente toute lisse... Offrir à la jeune fille son premier orgasme alors que le vieux pervers explore chaque partie de son corps avec sa bouche, ses doigts et sa langue...
Bien sûr, je pourrais poursuivre en vous racontant la panoplie de fantasmes pervers et tabous qui m'habitent. J'ose toutefois espérer que vous me contacterez pour que nous puissions les partager ensemble...
Je vous laisse donc, pour l'instant, avec un de mes textes publié sur mon blog. Il s'intitule "Sans Consentement?". À noter qu'un autre texte publié sur ce site (Le Prof de Bio) est aussi de moi... Au plaisir de vous lire bientôt!
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Sans consentement?
Tu es nue, couchée sur le dos, les chevilles et les poignets attachés aux 4 coins du lit. Tu viens tout juste de t'assoupir... Nous venons de baiser en partageant ces fantasmes qui nous excitent tant.
Ces fantasmes où je t'attache en personnifiant ces hommes qui souvent te regardent et te désirent.
Ces hommes à qui, bien sûr, tu te refuserais à cause de leur âge ou de leur apparence physique. Ces hommes qui, pour satisfaire leurs pulsions, n'auraient d'autres choix que de te prendre de force...
Bien des personnages habitent nos fantasmes: cet ancien patron qui t'a fait des avances en te touchant les seins; ce concierge qui est entré dans ton appartement alors que tu étais sous la douche; ce vieil oncle qui, pendant les fêtes de famille, alors que tu n'étais encore qu'adolescente, n'arrêtait pas de glisser ses mains sous ta jupe...
Mais ce soir, peut-être parce que nous avons bu, j'ai eu envie d'actualiser ce fantasme interdit que nous prenons tant de plaisir à partager.
J'ai remonté le drap jusqu'à tes épaules avant d'enfiler un pantalon. Puis, j'ai été frapper à la porte de Pietro, ce vieux voisin dont le regard lubrique s'accroche si souvent à tes seins, à tes fesses et à tes jambes. Il n'a pas pris de temps à comprendre tout le plaisir que je m'apprêtais à lui offrir.
De type méditerranéen, mi-soixantaine, petit, trapu, ventru, le cheveu clairsemé et les lèvres épaisses, son sexe glonfle déjà son pantalon alors qu'il entre dans la chambre et s'assied près du lit.
Lentement, je fais glisser, jusqu'aux premiers poils bruns et soyeux de ton pubis, le drap qui recouvre ta nudité.
À la vue de tes seins ronds et fermes aux pointes dressées, sa bouche s'entr'ouvre et sa respiration s'accélère. Tu te réveilles alors que ses grosses mains rugueuses et tremblantes de désir palpent tes seins pour bien en apprécier la rondeur et la fermeté.
Nue, attachée, à la merci de ce vieux salaud, tes protestations et ta résistance ("Non.... non... tu n'as pas le droit... empêche-le de me toucher!") sont vaines et ne font qu'augmenter son désir.
Le souffle haletant, il se penche sur toi pour les embrasser, les lécher et les sucer alors qu'entre ses doigts, il pince délicatement tes petits mamelons rosés pour les faire se durcir de honte et de plaisir.
Ses caresses sont entrecoupées de "...petite salope.... petite putain.... il y a longtemps que j'avais envie de les voir et de les toucher...laisse-toi faire, je sais que ça te plaît... laisse-moi te caresser... laisse-moi te baiser...".
Il semble ne jamais vouloir se lasser de toucher, d'embrasser et de palper tes seins fermes.
Ce n'est qu'après un long moment, qui te paraît sûrement interminable, qu'il se relève, debout près de ton visage, en disant: "Regarde.... regarde bien maintenant avec quoi je vais te donner du plaisir."
Tu n'as d'autre choix que de l'observer se dévêtir, le regard rivé à son entrejambe alors qu'il fait glisser son slip pour en faire jaillir un sexe en érection. Large, courbée et veinée, sa vieille queue durcie se termine par un gros gland violacé aux larges rebords qui vient presque toucher le renflement de son ventre.
D'énormes testicules remplies de sperme (depuis combien de temps n'a-t-il pas fait l'amour?) pendent mollement entre ses cuisses et le poil de son pubis est presque tout blanc.
Il se rassied sur le bord du lit. Lentement, en faisant glisser le drap sur tes hanches, j'expose à son regard lubrique ton Mont de Vénus bien bombé et recouvert d'un doux duvet brun.
Déjà ses vieux doigts se sont enfouis entre tes cuisses que tu tentes vainement de refermer. ("Non....non.....nonnnn!").
Laisser ce vieux salaud te regarder et te toucher... explorer l'endroit le plus secret et le plus intime de ton corps alors que tu protestes et résistes fait glonfler mon pénis de plaisir!
Écartant les lèvres de ton sexe, il fouille lentement les replis étroits et humides de ton vagin, anticipant déjà le plaisir qu'il goûtera à y faire glisser sa vieille queue durcie.
Je devine déjà que sa langue remplacera bientôt ses doigts alors qu'il se dirige au pied du lit, s'agenouille entre tes chevilles écartées et attachées et commence à lécher l'intérieur de tes jambes.
Je continue à me masturber en le regardant abuser de toi. Sa langue longue et large laisse une trainée de salive sur ta peau nue.
J'approche mon gland près de ton visage. J'ai terriblement envie que tu me suces alors que je le regarde te violer. À ma surprise, et sans doute pour oublier les caresses ignobles du vieil homme, tu ouvres la bouche et aspires goulement mon pénis.
J'entreprends un lent mouvement de va et vient entre tes lévres, caressant tes seins et regardant le vieux salaud alors que sa langue a déjà presqu'atteint tes genoux.
De temps à autre, il relève la tête pour mieux apprécier les replis secrets de ton intimité dont il se délectera dans quelques instants.
"Hummmm.... magnifique....je savais que tu avais une belle petite chatte.... Tu sais que je vais bien la sucer, hein?...."
Il savoure maintenant la peau douce et velouté à l'intérieur de tes cuisses. Tes cuisses qui se bandent inutilement dans un effort ultime pour se refermer.
Déjà, tu peux sûrement sentir son souffle sur ta vulve alors qu'il n'est plus quà quelques centimètres de ton sexe. Ses grosses mains se glissent sous tes fesses et lentement, doucement, presqu'au ralenti, le bout de sa langue effleure à peine tes grandes lèvres.
Un courant électrique traverse ton corps. Tes cuisses se durcissent davantage en tentant de se refermer. Tes hanches bougent dans tous les sens.... Peine perdue, sa bouche est maintenant soudée à ta vulve et sa langue s'insinue profondément à l'intérieur de ton ventre.
Je suis sur le bord d'éjaculer alors que je le regarde violer ton vagin avec sa langue pendant qu'avec ses doigts, il caresse ton anus. Cette vieille langue si longue et si large qui de temps à autre se retire de ton sexe et remonte jusqu'à ton clitoris.
Tu résistes tant bien que mal plusieurs minutes puis, bien malgré toi, ton corps commence lentement à réagir aux abus du vieil homme. Tes sécrétions se font plus abondantes et ton clitoris se gonfle alors qu'il s'y est maintenant attaqué en le dégageant entre ses deux pouces pour mieux le lécher et le faire rouler entre ses lèvres.
J'arrive à peine à y croire lorsque je devine sur ton corps les signes avant-coureurs d'un orgasme: tes mamelons qui ne cessent de s'allonger et de durcir, la moiteur qui perle entre tes seins, ce frémissement qui courre sur ton ventre... mais surtout, surtout le balancement de tes reins maintenant parfaitement synchronisés avec les caresses orales de ce vieux salaud.
Je suis tout près d'éjaculer alors que je sens que ta jouissance est maintenant toute proche. Tes hanches se balancent de plus en plus rapidement sous ses caresses... puis d'un long coup de rein, arqueboutée et en équilibre sur tes poignets et tes chevilles attachées, ton bassin se soulève et, complètement offerte à sa langue, à ses lèvres et à ses doigts, tu jouis....
Mon sperme gicle au même moment dans ta bouche, terriblement excité de voir que tu as laissé ce vieux vicieux que tu avais tellement voulu repousser te donner ce plaisir ultime. Ce plaisir immensément intime et secret dont peu d'hommes avant moi avaient pu être les témoins...
Je me retire de ta bouche alors que mon sperme coule sur tes joues et ton menton. Ta respiration est haletante. Ton orgasme fut violent et inattendu... offert par un homme qui t'a abusée et prise sans ton consentement. Tu es épuisée et troublée à la fois....
Tu réalises à peine lorsqu'il s'agenouille près de ton visage et se met à frotter son gland violacé sur tes joues, ton front, ton cou étendant avec sa queue le sperme qui a coulé de ta bouche. Puis, te retenant par les cheveux, il approche son pénis de ta bouche pour t'obliger à le prendre entre tes lèvres.
"Suce.... ahhhh oui.... suce-moi, petite salope!"
Tu es encore trop confuse pour résister et tu le laisses glisser son vieux sexe dans ta bouche.
Je m'étends près de toi, à quelques centimètres de ce pénis qui viole ton visage.
"Allez, suce-le bien... sens bien son gros gland entre tes lèvres... laisse le prendre son plaisir. Il doit y avoir si longtemps qu'une aussi jolie femme que toi ne l'a pas sucé.", te dis-je à l'oreille alors que ma main s'est glissé entre tes jambes pour caresser doucement ton clitoris qui a maintenant doublé de volume.
"Il t'a bien fait jouir, non?... Il t'a donné un orgasme en te léchant avec sa langue... je pense qu'au fond ça te plait bien de te faire abuser ainsi par ce vieux cochon..."
Tu sens son pénis se raidir encore davantage dans sa bouche. Son poil blanc touche presque tes joues alors qu'il enfonce sa queue encore plus profondément.
Hummmmm.... voir ainsi ce vieux salopard prendre ce plaisir que tu lui as toujours refusé fait durcir ma queue à nouveau. Je continue doucement à te masturber alors qu'il pompe toujours ta bouche...
Le plaisir te gagne encore. Tes hanches tanguent voluptueusement sous les caresses de mes doigts. Je n'ose y croire alors que je devine ta langue qui s'enroule autour de ce vieux gland qui va et vient entre tes lèvres.
Tu agis comme si tu voulais le faire jouir.... comme si tu voulais qu'il se soulage entre tes lèvres après toutes ces années où il n'a probablement pas pu glisser son sexe dans la bouche d'une femme.
Je réalise que tu es vraiment une petite salope et ça me fait bander encore davantage.
Son rythme s'accélère.."Petite putain, je sais que ça te plait de sucer mon vieux gland.... mais c'est entre tes cuisses que je veux jouir", dit-il en se retirant de ta bouche alors qu'une goutte de sperme perle déjà au bout de son pénis.
Il fait glisser son gros corps jusqu'à tes hanches et s'étend sur toi de tout son poids.
"Tu sais ce que je vais te faire?", te murmure-t-il à l'oreille.
"Tu sais où je vais la mettre ma grosse queue bandée?", ajoute-t-il alors qu'il a glissé une main entre ses jambes pour se saisir de son sexe.
"Je suis sûr qu'elle va bien se faufiler dans dans ta petite ouverture..."
Il frotte maintenant son gland sur ton clitoris tout en te parlant....
"Il y a combien de temps que nous vivons sur le même palier? Que je t'observe matin et soir aller et revenir du travail? Toutes ces fois où ton regard fuyait le mien. Pourquoi? Tu n'aimes pas la façon dont je te regarde? Tu n'aimes pas que je reluque tes jambes. Elles sont si belles.... je l'ai ai bien léchées, non?... et tes fesses, bien rondes.... tu as aimé lorsque je les ai caressées en sucant ton sexe? Et tes seins, tes beaux seins fermes que j'aime regarder lorsque tu ne portes pas de soutien-gorge... Je sais que tu aimes bien les montrer tes seins... tu aimes bien que les hommes soient excités en les regardant, non?... et tu ne voudrais pas qu'un vieux bonhomme comme moi que tu t'amuses à faire bander puisse les toucher? Pourtant, ils sont si beaux... allez, laisse-toi faire, petite putain..."
Et de sa main libre, il se met à les palper, à les caresser et à les sucer tout en continuant à masturber ton clitoris avec son gland.
Le plaisir ne t'as pas quittée depuis que j'ai commencé à te caresser pendant que tu le suçais. Ta respiration est maintenant plus saccadée, ta poitrine se soulève, tes hanches basculent légèrement vers l'avant pour aller à la rencontre de son gland.
"Je te sens bien excitée, petite salope.... Si tu savais le nombre de fois où je me suis masturbé en pensant à toi. Toutes les fois où j'ai fantasmé en imaginant que je violais ta bouche, tes seins ou ta petite fente. Chaque fois, je te voyais attachée ainsi, sans défense, obligée de me satisfaire... car c'est vraiment le seul moyen qu'a un vieil homme comme moi de baiser une aussi jolie jeune femme que toi, non?", ajoute Pietro.
Tes reins qui se balancent répondent maintenant sans pudeur aux caresses de son gland sur ton clitoris...
"Ça t'excite tout ce que je te raconte, hein? C'est ton fantasme de te faire attacher et de te faire baiser ainsi.... mais tu n'aurais jamais pensé que ce serait par moi. Un homme qui a plus que deux fois ton âge.... mais qui a encore une belle queue, non? Comment la trouves-tu ma queue?"
"Elle est... grosse.... longue...", murmures-tu en haletant de plaisir.
"Ouais, bien grosse et bien longue pour te donner du plaisir.. et tu sais ce que j'ai envie de faire avec ma queue? J'ai envie de la glisser en toi, de te baiser... de te violer."
Tout te parlant, il glisse lentement son gros gland gorgé de plaisir entre les replis de ta vulve...
"Allez, c'est ça... resserre bien ton sexe... Pas facile d'admettre que tu est au bord de l'orgasme parce qu'un vieux salaud comme moi est en train de t'enfiler...C'est ca.... contracte bien ton vagin pendant que j'y fais entrer mon pénis...."
La queue de Pietro est maintenant presque complètement en toi. Bientôt, son vieux poil blanc se mêlera à ton petit duvet brun...
Lentement, il commence un lent va et vient entre tes cuisses...
"Dis-le petite salope, dis-moi ce que tu veux que je te fasse..." dit-il alors que ton corps perle de plaisir, ta bouche est entr'ouverte, ton souffle court....
"Ohhh... oouuuui..... plus vite .... plus loin.... encore .... encore plus fort....... baise-moi, remplis-moi, salaud!...", murmures-tu en gémissant.
De te voir ainsi prendre plaisir à te faire abuser m'excite de plus en plus. Je sais déjà que j'irai prendre la place de ce vieux cochon lorsqu'il se sera soulagé en toi...
Ma queue bien raide à nouveau, je m'étends près de toi. Je te murmure à l'oreille alors qu'il te monte de plus en plus rapidement: "C'est excitant ce qu'il te fait, non?... Dis-lui à quoi tu penses lorsque tu es nue, attachée et que tu me demandes de personnifier de vieux salauds comme lui. Dis-lui, je suis certain que ça va le faire venir de t'entendre...."
Ta respiration s'accélère, tu es au bord de l'orgasme, prête à franchir le dernier tabou, le plus excitant des interdits et c'est en soulevant les hanches pour jouir que tu lui gémis, alors qu'il remplit ton ventre de sa semence chaude et blanche:
"Ah...... oooooouuuuuuiiiiiiiii.... viens.... jouis... Ahh...ahhhh.....oooooooooooouuuuuuiiiiiiiii.... viole-moi......vieux salaud.... viole-moi avec ta grosse queue....."
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