Author Topic: (by Coulybaca) L'ombre du passé Ch 8  (Read 1551 times)

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(by Coulybaca) L'ombre du passé Ch 8
« on: February 22, 2008, 11:35:15 AM »
L'OMBRE DU PASSE .
Coulybaca (Texte personnel)

Chapitre 8 : le recrutement de nouvelles gagneuses.


Attablé devant un verre de whisky, Ali faisait le point en compagnie de son frère et de ses sbires .
Cela faisait maintenant un mois qu'il avait lancé l'opération, aux dix pre-mières femelles, étaient venues s'ajouter six autres gagneuses, tout au-tant disponibles :
_ Une seconde Arlette, Arlette Dumas, son mari commissaire principale de police, à qui elle n'avait jamais avoué sa faute, ne devait jamais la connaître, aussi se pliait-elle aux injonctions d'Ali avec autant de bonne volonté que ses consœurs. Belle blonde sophistiquée, on lui aurait donné le bon dieu sans confession ; en fait elle se révélait ardente, chaude au lit, elle n'avait eu aucun besoin de formation complémentaire, que ce soit en bouche, en con ou en cul, ses dispositions naturelles lui permettaient d'épuiser le mâle le plus exigeant dans un minimum de temps.
Déjà elle s'était faite une clientèle particulière qui adorait couvrir cette belle femelle, jusqu'ici irréprochable, la couvrant de sperme, lui faisant prendre les positions les plus ignobles, contrastant fort avec son air in-génu.

_ Pour Isabelle Fournier, la femme du premier adjoint, commerçant en gros et Nicole Dulac, l'épouse d'un agent général d'assurances, le piège s'était refermé sur elle d'une toute autre façon.
Instruit par Aurore Lepan, de la tendre amitiè qui unissait les deux femmes, Ali soupçonna vite plus qu'un attachement amicale, après plusieurs jours d'espionnage, il découvrit le petit nid qui abritait leurs amours, à une vingtaine de kilomètres de Moulins.
S'en ouvrant à Solange et Clothilde, il apprit qu'elles ne pouvaient voir leurs amours étalés au grand public sans risquer le divorce, la mise au ban de la société Moulinoise, ce que dans leurs positions, elles ne pourraient supporter.
Bientôt le guet-apens fut prêt, le propriétaire du petit hôtel, contre la promesse, de s'envoyer à satiété les deux salopes, permit à Ali et Mohamed de remplacer un immense miroir au mur de la chambre qu'elles retenaient à chacune de leur visite, par une glace sans tain, permettant d'observer, de photographier de la piÈce voisine.
Il poussa la complaisance jusqu'à prévenir Ali, dès leur prochain rendez-vous. Confortablement installés, Ali et Mohamed prirent deux pellicules de leurs ébats intimes.
Ali aimait particuliÈrement un cliché, sur lequel on voyait la brune Nicole fesser de sa mule la plantureuse croupe de sa blonde amie, la photographie en couleur soulignait la rougeur du large fessier, démontrant amplement la cruauté du jeu.
Il ne dédaignait pas pour autant d'autres photos, ou elles se grouinaient avec entrain, tête bêche, se suçant mutuellement le clitoris, honorant leurs anus d'une langue curieuse, ou s'empalant sur des postiches doubles comblant leur deux intimités simultanément.
Celle qu'il leur avait envoyée les représentait intègrement nues, allongées l'une sur l'autre tête bêche, Isabelle fouillant d'une langue pointue la vulve luisante de sa tendre amie, tandis que Nicole écartant ses fesses à deux mains lui prodiguait une savoureuse feuille de rose.
Le lendemain, elles étaient au rendez-vous fixé, et pleurnichant acceptaient toutes ses conditions, comme l'avait prédit Aurore, leur position sociale ne pouvait leur permettre de voir étalée au grand jour leurs turpitudes.

René, le propriétaire de l'auberge, reçut leur visite dès le lendemain, dri-vées par Mohamed, elles devaient combler les désirs de leur délateur, en récompense de ses révélations.
Elles s'y employèrent avec résignation, les deux hommes se succédèrent entre leurs fesses, leurs cuisses et leurs lèvres.
Dans une folle après-midi, ils se permirent toutes les fantaisies, terminant par un savoureux sandwich dont Isabelle constituait la tranche de jambon.
Mohamed enfoui profondément au fond de son con et René la possédant puissamment par l'anus se firent lécher les burnes par Nicole, qui devait de la pointe de la langue agacer les deux verges plantées dans les orifices de sa belle amie.
Lorsque dolente, débordante de foutre, Isabelle resta affalée en travers de la couche, Nicole dut encore nettoyer les queues des deux salauds, puis elle lapa le foutre suintant de l'anus et du con de sa compagne, avalant d'un même coup de langue semence et cyprine mêlées.
Ravi de la conclusion de l'aventure, René se promit de surveiller tous les couples illégitimes qui pouvaient se rencontrer chez lui, décidé de signaler à Ali toutes les proies susceptibles de rejoindre son cheptel.

Pour Charlotte Vendè c'était encore mieux, René, le propriétaire de l'hôtel, avait prévenu Ali que depuis quelques semaines un couple venait furtivement deux fois par semaine, dans ce couple il lui semblait bien avoir reconnu Madame Vendè, jeune veuve de trente huit ans qui avait eu les honneurs de la presse quelques années plus tôt.
Son mari, gravement malade était décédé, laissant derrière lui un testament spécifiant qu'elle jouirait de ses rentes tant qu'il ne serait pas remplacé, au moindre épisode amoureux, légalisé ou non, le testament deviendrait caduque, l'héritage serait alors partagé entre de vagues ne-veux, qui depuis ce jour épiaient les faits et gestes de la belle héritière.
Il lui avait été facile de vérifier ces assertions, le décédé ayant déposé dans l'étude du mari de Sylvette.
A la grande joie d'Ali les faits s'étaient avérés réels.
A partir de ce moment, il sut qu'il ne tarderait pas à jouir d'une nouvelle pute.
Effectivement, la vue de la photo qu'il lui amena personnellement la convainquit immédiatement de plaquer son amant pour le remplacer par un souteneur impitoyable.
Le marché fut traité sur le canapé de Charlotte.
Une photo la représentant à quatre pattes sur le lit de l'auberge, l'anus défoncé par un énorme gourdin, le sphincter semblant cercler l'épais mandrin d'un bague de bronze suffit à la subjuguer.
Sur l'ordre d'Ali elle se déshabilla en sanglotant, il s'assouvit voluptueusement dans ses reins, dans sa bouche et dans son con, avant de lui annoncer son esclavage à venir.
Pour elle le choix était simple, ou elle acceptait de se soumettre, troquant son silence contre quelques après midis chargées, et quelques soirées bien remplies chaque semaine, ou elle refusait et se verrait contrainte de renoncer à la vie aisée, confortable, à la position enviée que lui conférait l'héritage de feu son mari.
Sanglotant, elle accepta toutes ses conditions, promettant de se prosti-tuer pour lui s'il n'informait pas les éventuels héritiers de son inconduite.

- Avec Jeannine Duclos, l'affaire devenait croustillante, cette sémillante brune de trente cinq ans passait pour un bastion inattaquable, femme du plus gros promoteur de la région, elle profitait de son oisiveté pour militer dans toutes les associations bien-pensantes du lieu, décernant des prix de vertu, ses jugements définitifs conféraient à ses victimes une auréole de vertu ou le titre de fieffée salope, ce qui les excluait automatiquement du cercle des gens bien, leur fermant les portes des réceptions de bon ton.
C'est avec joie que Clothide et Solange qui s'étaient fait égratigner par ce parangon de vertu, apprirent qu'elle entretenait des relations bizarres avec son beau-fils, fruit d'un premier mariage de son mari.
Une longue vue braquée sur la villa de la jeune femme permit à Ali de vérifier les faits, cependant il eut bien du mal à leur tirer le portrait en si-tuation vraiment inavouable.
Il possédait déjà quelques photos ou on la voyait embrasser passionné-ment son jeune amant, mais cela ne suffisait pas à prouver la relation incestueuse, lorsqu'un après-midi, de faction devant la villa, il vit s'absen-ter les deux domestiques, il s'en réjouit, pensant que les deux amants se montreraient moins méfiants de ce fait.
La suite lui démontra qu'il avait raison, le jeune homme, se croyant à l'abri des regards indiscrets se dévêtit et plongea nu dans la piscine, après quelques évolutions, Charlotte, en maillot une pièce vint le rejoin-dre, il projeta de l'eau sur elle, l'agaçant jusqu'au moment ou elle plon-gea à son tour dans l'eau.
Dès ce moment, Ali se mit à mitrailler les acteurs qui chahutèrent tout d'abord innocemment.
Soudain, il vit la belle brune se raidir contre le muret de la piscine, la main du jeune homme agrippa les bretelles du maillot, dénudant lasci-vement son buste, elle se laissait faire, tendant la poitrine, offrant ses mamelons à la bouche humide de son beau-fils qui les lui suçait tendre-ment.
Après quelques minutes de ce tendre jeu, le jeune étalon la repoussa sur le bord de la piscine, se tortillant, elle se conforma à son désir, s'extir-pant de son maillot collant.
Jambes grandes ouvertes, assise sur le rebord de la piscine, elle offrait sa déchirure aux coups de langue habiles de son amant, qui lui suçotait maintenant le clitoris, remontait le long des babines, introduisait la pointe de sa langue dans l'anneau ridelé, au cœur des fronce brunes de son anus.
Secouée de spasmes violents, elle ne put résister longtemps à ce régime, elle l'attira sur elle, puis roulant sur son corps, elle s'empala avec frénésie sur sa bite frémissante.
Ignorante du danger, c'est avec fougue qu'elle se livra une bonne partie de l'après-midi aux tendres ébats, se vissant sur la queue raidie, l'absor-bant jusqu'à la racine, la trayant de son ventre avide avant de lui rendre de la bouche de la vigueur.
Les dernières photos prises par Ali, les représentait cote à cote alanguis, les yeux dans le vague, la main du jeune homme insérée entre les jambes de la belle brune, qui masturbait lentement la bite apaisée, cher-chant machinalement à lui soutirer quelques gouttes de plus.
En plein cinéma, lors de la projection d'un documentaire sur la condition des femmes en Afrique, film qui précèderait un débat hautement instruc-tif sur la question, Ali prit la place d'Aurore assise à ses côtés.
Sachant que toutes les places alentours étaient occupées par ses créa-tures, Ali put en toute discrétion soumettre à l'examen de la jolie femme les photos scabreuses la concernant.
Elle s'empourpra, renifla, ferma les yeux, anéantie.
Catastrophée, elle ne repoussa pas la main du jeune arabe qui s'insi-nuait sous sa robe, remontait le long de ses cuisses nues, touchait le fond de sa culotte.
Ce n'est qu'à ce moment qu'elle serra violemment les jambes, emprison-nant la main aventureuse, tout en jetant de rapides coups d’œil alen-tours, craignant de se faire remarquer.
Lui pinçant le gras des cuisses, Ali la menaça, de monter dans la cabine de projection, pour projeter sur le grand écran des diapos du même ton-neau.
Haletante, elle ne put que murmurer :  
-   Petit salaud... Q'est ce que vous voulez... Vous n'imaginez tout de même pas que ...    
-    Non seulement j'imagine, mais je peux t'assurer que si dans dix secondes tu n'as pas fourré ta culotte dans ma poche, ton image va s'étaler en surimpression sur l'écran ! ....  
-    Non .... C'est pas possible  .... Non .....Non….., gémissait elle tout en faisant glisser l'ultime rempart de sa vertu le long de ses cuis-ses, l'enfouissant ensuite dans la poche de son ignoble maître-chanteur.  
-   Tu vois, si t'es raisonnable, tout se passera bien... Ouvre bien grand tes cuisses .... Je veux te tâter le con !
Désemparée, elle obéit, écarta en grand son compas, offrant aux doigts fouineurs la totalité de son ventre crispé.
Il aventura d'abord un doigt entre les lèvres charnues, puis il caressa len-tement toute la figue crispée, enfonçant un doigt dans le vagin puis l'anus de la jeune femme éperdue.
Elle ne pouvait s'agiter, se refusant à signaler l'agression dont elle était l'objet, aussi se laissait-elle passivement caresser, cherchant à dissimuler le plaisir naissant dans ses lombes.

La prenant par la nuque, il la força à prendre son chibre tendu entre les lèvres, il lui appuyait sur la tête l'obligeant à accomplir une fellation acceptable.
Enfoncé jusqu'à la garde entre ses lèvres, il ne tarda pas à lui embourber la gorge, lui déversant des flots de sperme dans l'arrière gorge, qu'elle avala en hoquetant.
Anéantie, catastrophée, elle se leva alors, suivant ses ordres et accom-pagnant son maître-chanteur Aurore elle dut se rendre aux toilettes.
Aurore faisant le guet, elle entra dans les WC pour dames, et sur l'ordre d'Ali se pencha en avant, mains posées sur la faïence blanche.
Tout de suite, elle sentit une main masculine relever sa jupe, dévoilant sa croupe crispée, ses deux globes opulents couverts de chair de poule, une énorme pine parcourut son profond sillon avant qu'un gland épais ne presse son anus.
Révulsée d'horreur, elle sentit deux mains écarter largement ses fesses, livrant son trou secret en spectacle, l'inconnu qui la menaçait de son chibre hors norme se régalait à la vision de son oeillet fripé, ridelé, contracté par l'angoisse et la honte, d'un coup sec le gland s'engagea dans le tunnel rétracté, la laissant s'habituer quelques secondes avant de la pourfendre d'un grand coup d'estoc, la déchirant avec force, empalée jusqu'à la garde, elle se retourna pour identifier son agresseur et vit un grand noir, souriant à grandes dents en s'enfonçant dans son boyau, tandis qu'Ali photographiait sa déchéance.
Eperdue, secouée d'importance par son enculeur, pleurant à chaudes larmes elle subit sa lubricité jusqu'au bout, s'efforçant de se dilater au maximum pour amoindrir la douleur irradiant de ses lombes.

Enfin, à bout, elle sentit la grosse queue qui la remplissait toute se dilater encore, puis projeter des flots épais et gras au fin fond de son rectum.
Comme égarée, folle d'humiliation, elle se retournait pour quitter ce sinistre endroit, témoin de sa déchéance, une nouvelle bite sombre se présenta à sa bouche, alors qu'un gros nord africain, la bousculant s'asseyait sur le siège des WC.
L'attirant à lui, le gros arabe enfourna sa queue dressée dans son ventre vierge de toute lubrification.
Incendiant son vagin, il s'imposa avec vigueur dans son conduit à vif, tandis que le braquemart sombre s'engloutissait entre ses lèvres brûlan-tes.

Sous les éclairs du flash, se tortillant sur le pivot érigé, elle dut sucer goulûment la pine frémissante qui lui déformait la bouche, s'enfonçant comme un coin dans sa bouche.
La joie de ses suborneurs de profaner la belle blonde en pleurs était telle que quelques instants ils s'exonérèrent l'un au fond de sa gorge, l'autre au fond de sa matrice.
Le cul et le con débordant de semence, le sperme coulant lentement de ses ouvertures naturelles poissant son entre fesse, les papilles imprégnées du goût acre du sperme de son chevaucheur de tête, elle réintégra la salle sous l’œil ironique d'Aurore et ses consœurs, conscientes que dorénavant elles les accompagnerait dans leurs soirées de débauche.

Effectivement, la prude Charlotte eut beau tempêter, supplier, pleurnicher, sangloter, la semaine suivante elle se rendait dans le foyer le plus proche, et sous la conduite de Mohamed proposait ses reins son ventre et sa bouche à la salacité d'une vingtaine de clients déchaînés.
Sa vie changea du tout au tout, son beau fils se vit expédié dans une université lointaine, quittant avec regrets et sans explications ce corps sensuel dont il tirait tant de plaisir, alors que sa maîtresse, se conformant aux prescriptions de ses maîtres, vendait son corps, un jour sur deux à leur profit.

Pour la sixième recrue, ce fut encore plus facile, René signala un mardi la présence dans la chambre au miroir, de la femme du procureur du tri-bunal, âgée de trente ans la blonde Mylene Servant trompait son ennui en jouant discrètement les grues.
Ses fantasmes l'avaient poussées à racoler discrètement des clients, les entraînant dans une auberge dérobée, ou contre rétribution elle leur fai-sait don de ses orifices.
Quelques photos expressives suffirent à la convaincre de mettre ses ta-lents au service d'Ali et consort en échange de leur silence, et depuis ce jour elle se livrait avec le plus grand plaisir aux clients les plus exigeants, trouvant son plaisir dans l'accomplissement de ses fantasmes les plus pervers.

René qui avait été l'un des premiers à s'en servir avait signalé à Ali les aptitudes particulières de cette belle blonde, qui pouvait accueillir au fond de sa gorge les bites les plus conséquentes, prenant son pied en livrant son anus et son con aux bites les plus extravagantes.

Le club masculin, informel s'était aussi constitué, chaque membre per-manent portait une grosse chevalière ornée d'une tête de loup, à sa vue, chaque femelle du staff se pliait au moindre volonté du porteur, quelque soit l'endroit ou l'heure de la rencontre.
Ainsi, lors de déjeuners mondains, de bals de bienfaisance ou d'après midis récréatifs, elles pouvaient toutes se faire aborder et contenter des clients parfois exigeants.

Lors du dernier gala de bienfaisance auquel participaient Clothilde Au-rore et Mylène, elles devisaient gaiement, grisées par l'atmosphère cha-leureuse de la soirée, dans cet aréopage, elles se croyaient à l'abri de toute mauvaise surprise, lorsqu'elles virent un petit groupe d'invités s'ap-procher d'elles, les quatre hommes arboraient la maudite bague, elles ne les connaissaient pas, et pourtant elles savaient qu'elles devraient se mettre entièrement à leur disposition.
Les prenant par le bras, ils les entraînèrent vers l'étage, à peine dans l'escalier, elles sentirent des mains moites enquêter sous leurs robes, vérifiant leurs tenues : croupes dénudées encadrant des bas sombres soutenus par des porte jarretelles de couleurs vives.
Aurore qui montait au côté de Clothilde trébucha, un doigt impérieux ve-nait de lui forcer l'anus, les fesses serrées elle continua de gravir les marches, examinant la croupe dénudée de Mylène qui dansait devant elle, une main fourrée dans l'entrejambes.

Dès arrivé sur le palier, l'un des quatre se mit en faction, tandis qu'ils pé-nétraient dans une chambre vide, Aurore agenouillée prit entre les lèvres la grosse queue brune que lui tendait un cinquantenaire bedonnant, elle la mâchouilla longuement, tandis que Milène jetée sur le lit, gisant sur le dos, dans le désordre de ses jupes relevées offrait son corps gracile aux assauts d'un grand blond tout aussi membrè, à quatre pattes à ses cô-tés, Clothilde  écartait de tous ses doigts son oeillet, le défripant, en éca-rtant les fronces pour mieux dévoiler son intérieur blanchâtre, d'un seul élan, brisant d'un seul coup tous les obstacles, son client l'embrocha jusqu'à la garde, lui repoussant les boyaux, les déplient en force pour faire son logement.
Déjà celui qui chevauchait Milène se vidait au fond de sa matrice, lui en-joignant de se placer à quatre pattes au côté de Clothilde et d'ouvrir tout grand son cul, il remplaça le factionnaire de guet.

Entrant dans la pièce, ce dernier découvrit Aurore, la bouche pleine du sexe de son client, lèvres bien arrondies autour du cylindre, coulissant lentement sur la hampe rigide, Clothilde, enculèe jusqu'aux couilles qui, d'avant en arrière, s'empalait au maximum sur le gros chibre qui la comblait et Milène s'écartelant la blessure, cambrant les reins, offrant en toute obscénité l'accès de son con ou de son cul selon son envie, il fourragea dans sa braguette, en sortit une énorme bite brune qu'il détrempa d'abord dans le vagin de la belle blonde, puis lui planta roidement dans le fondement, Milène qui voyait depuis quelques temps se concrétiser ses fantasmes les plus pervers, se mit immédiatement en branle, roulant des hanches, par de savants retraits et douloureuses intromissions chercha son plaisir, enfin dans un hoquet de plaisir il lâcha un torrent de foutre au cœur de ses intestins, tandis qu'Aurore la bouche pleine de sperme visqueux regardait Clotilde en prendre à son tour plein le cul.

Les deux fraîches enculèe, changeant de partenaire durent nettoyer les queues, maculées de taches brunâtres, à la saveur douceâtre, des deux enculeurs, puis toutes trois, échevelées, elles durent descendre le grand escalier, Clothilde et Milène, l'anus douloureux sentaient le foutre de leurs enculeurs déborder de leurs trous fumants, pour poisser les plis de leurs fessiers, alors qu'Aurore la bouche pâteuse, le goût de son client en bouche, sentait son suiveur s'arroger une dernière gâterie, lui fourrant deux doigts réunis dans l'anus.

Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr

« Last Edit: March 15, 2012, 11:46:54 PM by Lois »

Offline Lois

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Re: L'ombre du passé Ch 8
« Reply #1 on: February 22, 2008, 08:03:14 PM »
Thank you!
So much oppression in our culture is based on shame about sex: the oppression of women, of cultural minorities, oppression in the name of the (presumably asexual) family, oppression of sexual minorities. We are all oppressed. We have all been taught, one way or another, that our desires, our bodies, our sexualities, are shameful. What better way to defeat oppression than to get together in communities and celebrate the wonders of sex?
The Ethical Slut: A Guide to Infinite Sexual Possibilities