J'ai quarante ans et mon père en a soixante-cinq. Je n'ai ni frère, ni sœur. L'histoire que je vais vous raconter a commencé il y a vingt sept ans.
Ma mère exerce une profession de représentant de commerce et elle est souvent en déplacement. Parfois, cela dure une dizaine de jours, par exemple quand il y a une foire. Mon père a un travail plus sédentaire. Il rentre à la maison tous les soirs.
Quand ma mère partait, j'avais l'habitude de venir dans le lit avec mon père. Inexplicablement pour moi à l'époque, quand j'ai eu dix ans, on me dit que ce n'était plus raisonnable.
J'ai eu mes règles vers l'âge de douze ans. Ma mère m'avait bien préparée à cet événement et je n'en fus pas trop perturbée. Mais en même temps, mon corps changeait. Ma poitrine poussait et j'en étais fière. Je commençais à ressembler à une femme. Je voulais séduire et je me faisais séduisante. J'appris à me maquiller, je m'habillais sexy, avec des petites robes moulantes pour faire ressortir mes fesses ou bien des décolletés très échancrés pour montrer mes seins.et finalement j'ai fait mon propre album photos et videos xxx sur le site "gofeminine.net "et je suis si fière de cela
Mon père me faisait la morale, me suggérant de me faire plus discrète, de ne pas allumer les hommes, selon son expression.
C'est aussi à cette époque que j'ai commencé à me masturber. Je ne savais pas comment était fait un homme mais je fantasmais en me touchant les seins et le sexe. J'aimais glisser mon oreiller entre mes cuisses et me frotter dessus. Cela me suffisait pour atteindre l'orgasme. J'adorais cela et j'étais capable de le faire plusieurs fois par jour.
Un jour, mon père m'a surprise. Il croyait que j'étais absente et il est entré dans ma chambre alors que je me trémoussais sur mon oreiller. Il a vite refermé la porte en s'excusant. J'étais morte de honte. Un quart d'heure plus tard, il est revenu, a frappé cette fois, et est entré. Il s'est à nouveau excusé et il m'a dit que ce que je faisais n'était pas mal. Il me rassura autant qu'il put et ressortit.
Cela me calma quelques temps mais assez vite, je recommençai à me masturber aussi souvent qu'avant. J'aimais vraiment le plaisir sexuel.
Un peu plus tard, c'est moi qui surpris mon père. Il était dans la salle de bains. Il ne m'avait pas entendu rentrer plus tôt que prévu de l'école. Je rentrai sans frapper, pensant que c'était libre. Mon père était assis sur le sol, tout nu, avec un magazine porno ouvert devant lui et il se masturbait. Il tenta désespérément de se cacher et moi je refermai vivement la porte. Je partis dans ma chambre.
A l'heure du dîner mon père m'appela pour passer à table. Maman était absente pour toute la semaine. Mon père s'excusa pour ce qui s'était passé. Il me dit que parce que maman était souvent absente, comme moi il se masturbait. Je lui dis que je comprenais et que ce n'était pas grave. Il me fit promettre de ne rien dire et en échange me promit de garder le secret lui aussi.
On aurait pu en rester là. Mais j'avais vu le sexe de mon père. C'était la première fois que j'en voyais un, en érection qui plus est. Je n'avais rien dit mais j'avais été fascinée par la force qui s'en dégageait. La raideur, et ce bout tout rond, tout rouge, cela m'excitait terriblement. Je me suis masturbée plusieurs fois ensuite en tâchant de me remettre cette image en tête.
Le lendemain, mon père m'apportait mon petit déjeuner au lit. C'était tout à fait inattendu car il ne le faisait jamais. Il s'assit à côté de moi sur mon lit. Nous étions tous les deux en pyjamas. Je buvais mon chocolat et mon père me parlait. Il me disait que je changeais, que je devenais une vraie petite femme. J'étais très flattée qu'il me dise ces choses. J'étais si heureuse que lui me voit comme une femme. Il m'embrassa sur la joue, me caressa les cheveux, puis soudain, il posa ses lèvres sur les miennes. Cela me fit fondre. Beaucoup de filles se seraient rebellées mais moi, j'avais aimé ce baiser. Je ne m'en étais pas soustraite. Voyant que je ne me refusais pas, mon père me prit le visage entre ses mains et il m'embrassa vraiment. Je veux dire, un vrai baiser d'un homme à une femme. J'étais innocente, je n'avais encore jamais embrassé un garçon, mais je le fis d'instinct et je sentis une grande chaleur envahir mon bas-ventre.
Il prit ma main et l'amena sur son sexe. Je fus tout de suite en contact avec sa peau parce qu'il portait un de ces pyjamas dont la braguette ne ferme pas. Je reconnus cette raideur que j'avais vue. Mais cette fois, je la sentais sous mes doigts. Elle sortit du pyjama et je la vis de près. J'étais hypnotisée. "Fais sortir le gland." Mais j'étais maladroite. "Tire sur la peau, vers le bas." Je fis ce qu'il me disait et je vis le gland apparaître, formidable. Je n'avais jamais rien vu de plus excitant que cette boule luisante avec cette petite fente en haut. Il y avait aussi toute cette chair en dessous, avec cette sorte de tendon qui reliait la boule à la tige. Et puis cette grosse veine bleue qui en partait, faisait presque le tour du membre et redescendait le long du cylindre.
Il me dit de le branler. Il me montra comment faire en prenant un instant son sexe dans sa main. Puis il reprit la mienne et la plaça en anneau autour de la hampe. Il accompagna mon mouvement un moment puis me laissa faire. Je le branlai et ça m'excitait extraordinairement, au-delà de tous les fantasmes de mes masturbations.
Mon père me stoppa. Il baissa son pantalon de pyjama et l'enleva et il s'allongea à côté de moi. Je me poussais un peu pour lui faire de la place. Nous étions très serrés parce que j'avais un lit simple. Il me demanda de continuer. Cette fois, il n'eut pas à me tenir la main, je le fis toute seule. Je découvrais maintenant ses testicules et cela accentua mon excitation. J'eus envie de les toucher, de les prendre. Je le fis avec ma main gauche. C'était doux. Je les faisais rouler dans ma paume, délicatement.
Mon père se crispa. Il bandait ses muscles, ceux des cuisses et les abdominaux surtout. Il me regardait. Il avait une expression de souffrance, la mâchoire serrée, les yeux qui semblaient m'implorer, le front plissé. Et puis il eut un râle. Je compris qu'il jouissait, comme cela m'arrivait quand je me masturbais. C'était la première fois que j'assistais à l'orgasme d'un homme. C'était très fort. Le cri était rauque. Il durait. Un liquide blanc et crémeux giclait du petit trou au bout du gland et me retombait sur la main.
Il prit son bas de pyjama et me le tendit pour que je m'essuie. Il me dit d'enlever mon pyjama. Lui-même déboutonna sa chemise. Je retirai mon pantalon puis je fis passer le haut par dessus ma tête. Nous étions nus tous les deux. "Je vais te branler à mon tour. Laisse toi faire ma chérie." Il descendit au fond du lit, me plia les jambes en levant mes genoux, écarta mes pieds et se plaça entre mes cuisses. Il approcha son visage de mon sexe. Il me prit les fesses et me lécha la fente. "Tu es très mouillée. Tu as aimé me voir jouir?" Je lui répondis que j'avais adoré cela.
Il mouilla tout mon sexe avec sa salive, puis commença à me caresser avec ses doigts. Il effleurait la vulve, remontait vers le clitoris, le titillait juste un peu du bout du doigt, massait le capuchon puis redescendait vers le pourtour des lèvres. Avec son autre main, il me pelotait un sein, doucement et frottait le téton. "Ferme les yeux et laisse la jouissance venir." Il continuait ses caresses. Parce qu'il ne variait pas ses gestes, je savais quand il serait sur mon clitoris, quand il redescendrait vers la vulve et j'attendais chaque attouchement avec impatience. Je sentis qu'il me léchait l'anus. Je découvrais qu'on pouvait ressentir du plaisir à cet endroit.
Il poursuivait tranquillement son oeuvre. Je me détendais petit à petit et je sentais l'orgasme venir. Mon père maintenait le tempo de ses gestes. Mon souffle s'accéléra. Je bougeais les fesses mais mon père suivit mes mouvements pour ne pas arrêter ni même ralentir ses mains et sa langue. Je levais mon bassin et tout mon corps se raidit. Je fermais mes cuisses sur la main de mon père, l'écrasant sans retenue. Moi aussi j'avais crié.
Nous sommes restés un long moment, moi sur le dos, les genoux levés et lui, allongé sur le ventre, sa tête entre mes fesses. Il se releva, descendit du lit, me prit par la main et m'invita à le suivre. Il m'emmena à la salle de bains et fit couler la douche. Il me prit par la taille et m'embrassa. J'entourais son cou et je me collais à lui. Je sentais son sexe sur mon ventre. Il m'entraîna sous le jet d'eau puis me lava l'entre jambe. Il prenait plaisir à frotter entre mes fesses et sur mes seins. Il me mit du savon sur les mains et me demanda de lui laver aussi ses parties génitales. Moi aussi, j'avais plaisir à lui passer la main dans les fesses, sur les bourses et surtout le membre, avec une attention toute particulière pour le gland.
Je dus ensuite aller à l'école et mon père partit au travail.
Je rentrai la première et attendis mon père, impatiente de le retrouver. Il revint de son bureau environ une heure après moi et dès que la porte d'entrée fut refermée, il me prit dans ses bras et m'embrassa. Je sentis qu'il avait encore envie de moi. J'étais tellement heureuse de voir que notre relation naissante n'était pas éphémère.
Il organisa un dîner aux chandelles, en amoureux. Puis, il me fit venir dans sa chambre. Il me déshabilla, se dévêtit à son tour et nous nous couchâmes nus dans le lit conjugal. Il m'embrassa sur tout le corps, dessus, dessous, il me téta les seins, il me lécha les fesses et la chatte, il pénétra l'entrée de ma vulve, mon anus, mes oreilles, tous mes orifices. Je voulus le branler mais il me demanda de faire un 69. Il m'expliqua que je devais me mettre sur lui, ma tête au niveau de son sexe et ma chatte au niveau de son visage. Il ajouta que je devais faire ce qui me faisait envie, sans me forcer en quoi que ce soit. Pour sa part, il me branla et me lécha comme il l'avait fait le matin.
Je voyais son sexe bandé en gros plan. Il était à la verticale. Je le pris en main et moi aussi j'eus envie de le lécher. Je commençais par des petits coups de langue sur le gland. Il y avait un peu de liquide translucide qui perlait sur la petite fente et je fus curieuse de le goûter. C'était épais. Un long fil s'étira quand je relevai ma langue. J'aimais bien la consistance et la saveur. Je m'enhardis et je pris tout le gland dans ma bouche puis j'enfonçais la tige le plus profond possible dans ma gorge. En même temps, je tenais la hampe et je la branlais. Je sortais la bite de ma bouche et je gobais une couille.
Je m'aperçus que mon père ne me léchait plus. Il avait reposé son crâne sur le matelas et il laissait venir son éjaculation. J'accélérais mon mouvement pour l'amener plus vite à l'orgasme. Je voulais entendre et voir ce spectacle extraordinaire d'un homme qui jouit. Il gicla et j'en reçu sur les lèvres et sur la main. Du bout de la langue, je pris un peu de sperme pour essayer. J'aimais l'odeur, j'aimais l'aspect et j'aimais le goût. Je remis le gland dans ma bouche pour avaler les quelques gouttes qui en sortaient encore. Je changeais de sens pour pouvoir embrasser mon père. Il me serra dans ses bras et nous entremêlâmes nos langues. Puis, tout comme le matin, il me branla et je fus plus rapide à jouir.
Nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre.
J'ai couché avec mon père toutes les nuits jusqu'au retour de ma mère. J'aimais cette sensation grisante de désormais plaire aux hommes et par dessus tout à celui qui était le plus séduisant à mes yeux, mon père. Et puis surtout, je découvrais le sexe et j'aimais ça.
Quand ma mère revint de sa tournée le vendredi soir, la situation se compliqua. Mon père et moi aurions voulu continuer à nous aimer mais il fallait faire très attention, chercher toutes les occasions d'être ensemble sans témoin mais en restant sur nos gardes pour qu'on ne nous surprenne pas.
Le soir de l'arrivée de ma mère, mon père me demanda innocemment si j'avais des difficultés pour mes devoirs. Je sautais bien sûr sur l'occasion pour prétendre avoir un devoir de maths à terminer et que son aide me serait précieuse. Ma mère nous dit bonne nuit et alla, comme souvent, lire dans leur chambre. Elle aime les romans à l'eau de rose. Elle peut en lire un en entier en une soirée. Avec mon père, nous savions que nous pouvions avoir deux bonnes heures pour nous.
Nous nous sommes enfermés dans ma chambre sans que ma mère ne s'en aperçoive. Mon père m'a fait asseoir sur mon petit bureau, il m'a retiré ma culotte, s'est agenouillé, a levé et écarté mes jambes, a pris mes fesses dans ses mains et m'a bouffé la chatte. Je me suis allongée, le dos sur le plan de travail et j'ai savouré son cunnilingus. Il faisait très attention à ma virginité en étant d'une extrême délicatesse avec mon hymen. Mais pour les autres parties de mon sexe et mon anus, il accentuait de plus en plus ses gestes. Il pénétrait souvent mon petit trou, soit avec la pointe de sa langue, soit avec son index. Il passait du temps à assouplir l'entrée avec des caresses circulaires appuyées qu'il faisait avec son pouce. Quand il me suçait et me frottait le clitoris, il excitait mon anus avec un doigt dont il entrait et sortait une phalange en cadence. J'aimais terriblement cette double stimulation et ça m'a très vite mené à l'orgasme.
Pendant qu'il me léchait, mon père se branlait. Il n'allait pas vite. Il voulait attendre mon plaisir. Quand j'ai jouis, il s'est mis debout, a accéléré sa masturbation et a éjaculé sur mes seins et ma robe. Il m'a prise par le cou, m'a redressée et m'a donné sa bite à sucer. Je l'ai nettoyée consciencieusement, cherchant le sperme partout où il pouvait se cacher, dans l'urètre, dans la peau sous le gland, le long de la queue. J'enfonçais son sexe dans ma bouche jusqu'aux couilles, à la limite de la nausée. Nous nous sommes embrassés et mon père est reparti dans la chambre parentale. J'ai tant bien que mal récupéré avec mes doigts le foutre qui maculait mon décolleté et je l'ai dégusté. Ma robe était tâchée et j'espérais que ma mère ne s'en rendrait pas compte lorsqu'elle ferait la lessive. Contrairement à mon habitude, je n'ai pas mis de pyjama et je me suis couchée toute nue, comme je l'avais fait avec mon père pendant la semaine.
Le lendemain matin, très tôt, mon père est venu dans ma chambre. Ma mère devait encore dormir. Il m'a demandé de me lever, de me tenir penchée en avant, les mains sur les genoux avec les jambes écartées. Il s'est accroupi sur ses talons et m'a léché l'anus. Il m'a bien préparée avec ses doigts puis il a placé sa bite devant mon petit trou. Il a commencé à pousser. C'était assez douloureux mais j'évitais de le montrer parce que j'avais envie de sentir sa bite en moi. J'en avais rêvé en me masturbant la nuit précédente. Je sentais que ça rentrait, mais tout doucement. Il cracha dans sa main et mouilla son sexe et l'entrée de mon cul. Il continua à s'enfoncer jusqu'à ce que je sente ses poils sur mes fesses. Il m'embrassa dans le cou et me demanda si j'avais mal. Je le rassurais pour le garder en moi et il commença à bouger tout doucement, juste des petits coups pour enfoncer encore un peu, sans ressortir. Il me tenait aux hanches. Nous fléchissions tous les deux légèrement nos jambes pour être dans la position la plus favorable à la pénétration.
Progressivement, il allongea son mouvement de bassin, faisant coulisser son sexe sur une plus grande longueur dans mon rectum. Il avait un gémissement à chaque fois qu'il poussait. J'avais peur qu'on nous entende mais en même temps, ça m'excitait de le sentir prendre son plaisir. Il accéléra, m'enculant sans retenue, écrasant mes fesses puis ressortant presque entièrement sa queue et replongeant aussitôt au fond de mon cul. Son pubis claqua une dernière fois contre mon derrière. Mon père resta collé à moi et je sentis pour la première fois de ma vie qu'on éjaculait en moi. C'était une sensation indescriptible. Je sentais le membre gicler, se rétracter un tout petit peu, puis se dilater à nouveau et envoyer une nouvelle salve. Mon père jouissait sans discrétion, comme si nous étions seuls dans la maison. Il se retira. Je me redressai et me tournai vers lui. Son sexe était luisant de son sperme. Je me mis à genoux et je suçais tout le nappage. Je me relevai et nous nous embrassâmes. J'aimais beaucoup partager avec lui le goût de son sexe. Ça me faisait beaucoup mouiller.
Je me recouchai, les fesses toujours pleines de la semence de mon père. Lui se rajusta et sortit. Il croisa tout de suite ma mère. Elle se demandait où il était passé. Tout naturellement, il lui répondit qu'il était allé dire bonjour à sa fille. Ma mère se crut obligée d'en faire autant et entra pour m'embrasser. Elle fut surprise de me trouver toute nue dans mon lit. Je me justifiais en prétendant avoir un peu souffert de la chaleur pendant la nuit.
Je me disais qu'il y avait tellement d'indices qui nous trahissaient qu'elle ne pouvait pas ne pas avoir la puce à l'oreille. Par exemple, je trouvais que la pièce sentait le sexe à plein nez. Et puis, si elle était proche de la porte de ma chambre quand mon père a joui, elle n'avait pas pu ne pas l'entendre. Ensuite, avant de sortir, mon père avait dû déverrouiller et le bruit de la clé dans la serrure n'était certainement pas passé inaperçu. Mais ma mère est ressortie sans faire aucune remarque. En la regardant s'éloigner, je vis qu'il y avait du sperme sur le sol.
Pendant la matinée, maman est sortie pour s'occuper de son jardin. Mon père l'aide un peu en arrosant régulièrement quand elle est en déplacement mais pour les opérations délicates, comme tailler, c'est elle qui s'en charge.
Pendant qu'elle travaillait à l'extérieur, nous nous sommes placés dans la cuisine, d'où nous pouvions la voir par la fenêtre. Je m'affairais sans trop d'objectif, juste pour avoir une raison d'être là. Mon père était assis par terre, derrière moi, la tête sous ma robe. Il avait baissé ma culotte jusqu'à mes chevilles et il me bouffait le cul. Je profitais de sa langue, écartant parfois les genoux ou me penchant en avant. Mon père écartait mes fesses avec ses mains et il se goinfrait de mon jus.
Je surveillais ma mère, m'assurant qu'elle ne revenait pas et qu'elle ne pouvait pas voir ce qui se passait sous la ceinture, bien qu'elle regardait fréquemment vers la cuisine en me souriant. De temps à autres, elle disparaissait de mon champ de vision et nous l'entendions ouvrir la porte. J'avais juste le temps de remonter ma culotte et mon père se relevait et s'essuyait tant bien que mal la bouche. Depuis le débarras, elle s'informait de ce que nous faisions ou si tout allait bien. Elle prenait un outil et ressortait, écoutant à peine ce que nous arrivions à bredouiller avec une voix qui trahissait notre trouble. Dès qu'il entendait la porte se refermer mon père se rasseyait, me baissait ma culotte, j'écartais mes jambes et il me léchait à nouveau. Il me dit qu'il aurait voulu me prendre par derrière comme le matin mais que ce n'était pas possible de le faire sans que ma mère ne nous voit. Je lui proposais de nous déplacer au salon mais il n'osa pas, expliquant que si maman rentrait brusquement, nous n'aurions pas le temps de nous rajuster. Mais l'envie était vraiment trop forte et nous le fîmes dans le couloir qui menait aux chambres et à la salle de bains.
Je m'appuyais sur le mur. Mon père ouvrit sa braguette et en sortit sa bite très raide. Il me prit sans difficulté. J'étais plus ouverte qu'avant ce matin et j'étais très mouillée par ce qu'il venait de me faire dans la cuisine. Il m'encula fort dès le début. Nous gémissions tous les deux. Je tendais mes fesses en arrière. Lui, il donnait des coups de bassins très amples vers l'avant. Je sentais ses couilles qui touchait ma chatte de temps en temps.
Comme nous ne pouvions plus surveiller ma mère, nous ne vîmes pas qu'elle revenait vers la maison. Elle entra brusquement et nous avons eu un temps de réaction un peu trop long avant de nous arrêter de baiser. Mais elle n'avait apparemment rien entendu et nous demanda où nous étions. Mon père, plein de sang froid, mais aussi passablement essoufflé, répondit qu'il allait aux toilettes en calmant sa voix autant que possible. Ma mère fit quelque chose, toujours dans le débarras et ressortit. Mon père n'avait pas débandé et était toujours fiché dans mon derrière. Il reprit ses va-et-vient et finit pas me remplir les fesses de sperme, avec toujours un grand cri libérateur.
Il m'a prise par la main et m'a entraînée dans la salle de bains pour me doucher rapidement. C'est lui qui m'a lavé l'anus, entrant ses doigts profondément pour nettoyer le foutre qui était au fond du rectum. Il m'embrassa fougueusement et nous ressortîmes pour rejoindre ma mère, qui était rentrée entre temps et qui se trouvait dans la cuisine.
Le soir après le dîner, maman est allée lire dans sa chambre. Mon père et moi sommes restés dans le salon pour regarder la télé. Pendant toute la durée du programme, mon père avait sa main sous ma robe et moi, je tenais sa bite. De temps en temps, il me faisait signe, ce qui signifiait que je devais le prendre en bouche. J'adorais cela parce que comme il était très excité, son urètre était gorgée de sève qui nappait régulièrement son gland. Lui aussi sortait sa main de ma chatte de temps à autre et se nettoyait les doigts avec sa langue. Il me regardait avec un air très vicieux et cela m'excitait.
Puis, comme à notre habitude désormais, nous n'avons pas pu résister et il m'a prise en levrette sur le canapé après pas mal d'hésitations, de peur de se faire prendre la main dans le sac ou plutôt la bite dans le cul. Il me bourrait le derrière et en même temps me broyait les seins. Nous faisions autant de bruit que la télé, avec le canapé qui bougeait et nous qui râlions au rythme des coups de queue. Je ne savais pas ce que ma mère pouvait entendre depuis la chambre mais elle ne s'inquiéta pas de ce qui se passait. Mon père cria toujours aussi fort au moment de son orgasme et moi j'eus toujours autant de plaisir à le recevoir en moi.
Nous remîmes un peu d'ordre, en particulier en nettoyant les gouttes de sperme qui sortaient de mes fesses et souillaient le canapé. Malgré nos efforts, il restait des tâches de foutre sur le tissu. Mon père fit tomber exprès un peu de vin pour détourner les soupçons éventuels de ma mère.
Il m'expliqua qu'il allait prendre rendez-vous pour moi chez un gynécologue pour qu'on me prescrive la pilule. Il me demanda si j'étais d'accord. Je confirmais et il vit dans mes yeux à quel point j'étais heureuse de cette proposition. Après les règles, la pilule est un second pas vers la féminité pour toutes les jeunes filles.
En attendant qu'il me déflore, mon père me prenait par derrière deux ou trois fois par jour. Le lendemain, dimanche, c'était notre dernier jour à attendre avant de reprendre ce qui pour moi s'apparentait à une vie de couple. Faire l'amour à toute heure du jour ou de la nuit, quand l'envie nous en venait, dans n'importe quel endroit de la maison sans avoir peur d'être surpris, coucher dans le même lit, s'embrasser à tout instant, se toucher partout. Nous n'avons pas pu baiser de toute la journée et le soir, cela nous manquait atrocement. Je ne sais pas si mon père s'est soulagé avec ma mère mais moi, je me suis branlée furieusement dans mon lit. Je faisais exprès de faire du bruit, avec le sommier qui grinçait de façon caractéristique, ma main qui s'agitait dans un marécage et moi qui bramais sans retenue jusqu'à l'orgasme. Mes parents devaient se demander ce qui se passait, mon père ayant plus d'éléments que ma mère pour comprendre, mais ils n'osèrent pas venir s'informer.
Ma mère repartit en tournée pour la semaine très tôt le lundi matin. Il ne faisait pas encore jour. Il devait être quatre heures environ. Dès qu'elle a refermé la porte de la maison, mon père est venu me chercher pour m'amener dans son lit et enfin nous avons pu faire l'amour.
Le mercredi après-midi, après les cours, j'avais mon ordonnance pour la pilule. Je mercredi soir, je la prenais pour la première fois et je perdais ma virginité. Souvent, les jeunes filles vivent mal leur défloration parce que c'est douloureux. Mais mon père le fit de façon si délicate et j'étais si préparée que j'eus immensément plus de plaisir que de souffrance. Mon père éjacula très peu de temps après la rupture de l'hymen, si bien qu'il n'aggrava pas l'irritation par des frottements. Quant à moi, j'attendais sa semence depuis si longtemps déjà que je fus submergée de bonheur quand il se vida pour la première fois dans mon vagin.
Je grandis ainsi, entre l'école, ma mère et mon amant ou mon père. Quand j'entrais au lycée, je fis la connaissance de quelques garçons, qui me tournaient autour. Plus tard je suis sorti avec l'un d'eux, qui devint mon petit ami. Puisque je prenais la pilule, nous avons couché ensemble assez vite. Je mis mes parents au courant de ma relation mais c'est seulement à mon père que j'avouais que j'avais des relations sexuelles. Je sentis qu'il était jaloux et à cause de cela, il tenait plus que jamais à ce que nous continuions à dormir dans le même lit pour que je reste sa petite femme comme il disait.
Un jour, le garçon me demanda en mariage et j'acceptais. Ma mère était aux anges et mon père faisait semblant.
Le jour de la noce, pendant la fête qui a suivi, je suis allée aux toilettes et j'ai croisé mon père. Il profita de notre isolement pour m'embrasser. Il regarda autour de lui pour voir si personne ne nous voyait et il me fit entrer dans les toilettes des hommes puis dans une cabine. C'était le jour de mon mariage, j'étais en robe blanche, on me cherchait peut-être, mais je me laissais faire. Mon père s'agenouilla, me baissa ma culotte et enfouit son visage tout entier dans ma chatte. Les quelques instants qui s'étaient passé depuis notre baiser avaient suffi à me liquéfier. Il se releva avec de la cyprine plein la face. Il se déboutonna, me retourna et me prit debout. Je m'appuyais au mur tellement ses coups de reins étaient puissants. Ce fut très rapide mais nous avons jouis tous les deux tellement nous étions excités. Il s'est rajusté, a remonté ma culotte, s'est assuré que personne ne pouvait nous surprendre et m'a fait sortir avec lui en me tenant par la main.
Tout de suite, nous fûmes happé par les invités, moi par mon tout nouvel époux et mon père par sa femme. C'était mon mariage, la nuit de noce n'était pas encore consommée mais j'avais déjà du sperme plein la culotte et ce n'était pas celui de mon mari. Un peu plus tard, nous sommes allés dans la chambre nuptiale et mon mari m'a littéralement jetée sur le lit, a ouvert sa braguette, écarté mon slip et m'a prise sans même me déshabiller. Il a trouvé que j'étais très mouillée et en fut flatté.
Cela fait maintenant vingt ans que je suis mariée. Cela fait vingt sept ans que je suis aussi la maîtresse de mon père. Je suis toujours aussi excitée par ce plaisir pervers de me faire prendre par mon père à deux pas de ma mère et de son gendre. Je ne pourrais pas dire que ma mère ne s'est jamais doutée de rien. Après tout, peut-être a-t-elle des amants elle-même et cela l'arrange-t-elle. Mais mon mari et ma belle famille n'ont jamais rien soupçonné, heureusement.